Au bord de l'étang, les tamaris aux parures roses qui les habillent au printemps, se sont laissés dépouiller par l'hiver...
Comme si un grand feu les avait consumés, la sève s'est retirée ; mais ils ne laisseraient point leur place, contrastants avec l'herbe verdie par les nombreuses pluies de ces derniers jours.
D'autres branches nues, sans feuillages, blanchies par le sel et le vent, attendent les prémices du printemps...
De ces paysages d'hiver, sans neige certes, mais endormis et pourtant tourmentés par les éléments, il en ressort une beauté sauvage.
Très bien capturée cette beauté sauvage dans ta petite boite...
RépondreSupprimerj'aime beaucoup ces paysages sauvages, aux teintes toutes douces, ils me rendent un brin nostalgique de je ne sais quoi au juste. très belles photos
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