Libellés

jeudi 29 novembre 2007

hier soir...


très joli restaurant à la Grande Motte, ambiance soft, cosy, zen... de très bons mets accompagnés de très bons vins...
La vue sur les illuminations de Noël est enchanteresse... magique ! Extra pour le moral et j'ai passé une très bonne soirée.

Il manque quelqu'un...

mercredi 28 novembre 2007

Dame Nature

De loin, imperturbables
Malgré de nombreuses précautions, ma présence les a perturbés

mardi 27 novembre 2007

Ca vous dit ... une petite traversée du désert ?


J'ai pris un chemin parce que je le croyais juste... celui de ma conscience sûrement.
Au bout, des hommes qui se dressent comme des montagnes.
Contre la roche, les éléments se déchaînent, 2h30... c'est long.
Ciel tourmenté, acalmie puis orage, tempêtes...
Alors je grimpe, je me bats puis il faut se taire et se protéger.
Il faut passer de l'autre côté, la route continue-t'elle ?
Je ne vois rien. Je ne sais rien... jusqu'au 8 janvier 2008.
La route... elle continue forcément et j'espère que le soleil brillera.

Merci à mes parents, ma nounette
Merci au soutien de Fabrice, Jérôme, Dominique, Eric, Cathy, Alex, Jacques, Philo, Jocelyne, Sandrine
Merci aux encouragements de Maurice(s)

lundi 26 novembre 2007

Aller au delà des apparences, un autre monde...


Devant Arte ce soir "Loin du Paradis", un film montrant le carcan où l'on s'enferme souvent... pour faire partie de la bonne société. La dignité d'une femme bafouée et voulant dépasser les aprioris. Son coeur lui parle mais la raison l'emporte... C'est dommage, le coeur c'est important.

J – 1

Je n’ai jamais eu affaire avec la Justice mais demain en tant que victime, je passe au Tribunal Correctionnel et je suis morte de trouille. Je sais que cela va être très dur, que la partie adverse ne me fera pas de cadeau et que je vais en prendre plein la tête. Je me suis battue pour garder ma dignité et surtout j’ai voulu arrêter un homme dans sa démarche d’humiliation, de non respect envers ma personne… j’espère que je ne serai pas trop déstabilisée, que je saurai donner les bons arguments au bon moment et que je serai reconnue en tant que victime.

Demain soir, le délibéré sera tombé et je saurai... "Reconnue victime ou non"... J'ai très peur.


vendredi 23 novembre 2007

Je sais bien...


... qu'il ne faut pas pleurnicher sur soi, qu'il faut se battre et être optimiste. Je crois que je sais faire.
Mais ce soir, j'aimerai parler à un homme qui se dit être mon ami et qui ne prend jamais de mes nouvelles. J'aime sa présence car elle m'apaise. Il y a toute une histoire derrière cette amitié... Etre à ses côtés, peut-être ne pas parler, mais être bien. Juste être là... n'importe où mais avec lui. Il ne s'agit pas d'être "ami" pour la forme... Pas pour moi, il me manque. Il s'en fout sans doute... Pas moi ! (Voilà, c'est dit)

jeudi 22 novembre 2007


Il a remonté le col de son manteau.

Il vient de claquer la porte de la ferme où il faisait bon chaud. Le café est resté sur le coin du poêle. Il est tôt et il regrette déjà la chaleur des draps.

La neige est tombée toute la nuit et un silence règne sur le champ bordé par une rangée de sapins habillés d’étoiles glacées. L’aurore va bientôt pointer et des reflets mauves apparaissent dans le ciel, derrière les cimes.

Il se dirige avec peine vers la grange. Ses pas s’enfoncent dans la neige crissante. Il pousse la lourde porte et son travail quotidien va commencer. Donner à manger aux bêtes, un peu de foin récolté au printemps et séché pour palier la période hivernale.

Il maugrée contre Mélodie, sa plus petite vache, qui a mauvais caractère. Elle fait toujours bande à part du troupeau pendant la transhumance et ce matin comme tous les matins, elle s’agite en voyant le foin distribué. Elle en veut toujours plus. Ses bêtes sont revenues il y a deux semaines de cela. Il leurs jette un dernier coup d’œil, encore un hiver rude et sa journée ne fait que commencer.

Il pense à boire un bon café fumant et déjà il sent son odeur.

Vite… avant que le soleil apparaissent, il traverse à nouveau le sol gelé, essaie de poser ses pieds dans les traces qu’il a laissé en venant, c’est plus facile.

Ses yeux se plissent, l’air pique son visage… Il aime cette vie, il aime ces paysages… il connaît parfaitement ce travail qu’il fait depuis des années et lorsqu’il pousse la porte de la ferme, il pose son manteau sur la chaise en bois orné d’un cœur sculpté et se délecte de son café chaud.

« Est-ce vraiment un travail ? » se demande-t’il.

Il vit de sa terre, près de ses bêtes… Ses plaisirs sont simples. Le strict nécessaire est devant lui et ça lui suffit.

Souvent, il imagine sa vie avec une femme à ses côtés. Il ne s’est jamais marié et aucun enfant pour reprendre la ferme. Il n’a pas eu la chance, plus jeune, de trouver « chaussure à son pied » et « à son âge, c’est trop tard », pense- t’il.

Il lui reste ses rêves et il sait pourquoi il se lève tôt tous les matins.

Pour les beaux yeux de Mélodie !

Tombent les gouttes...

Grosses gouttes dégoûlinantes, frappant le sol avec fougue... toute la journée. Les niveaux d'eau montent très vite en Camargue dûs à la sècheresse habituelle du sol. Il faut être vigilant pour les inondations qui frappent souvent le Gard. Pour rentrer à la maison, j'ai roulé tout doucement car le niveau d'eau sur la route était déjà élevé. Je fais attention car fin octobre, j'ai eu mon moteur noyé et à 6 h du matin, au lieu de rejoindre mon lit, j'ai marché sous la pluie pendant 3/4 d'heure.

Voici Chaptit, le chat de Jérôme...

Petit tigre... qui va bien avec l'endroit de Jérôme.
Le roi des galipettes... vif, à l'affût d'une feuille qui vole ; accrobate, grimpant aux arbres ; calin mais la patte douce qui devient vite agitée. Il est super sympa ce chat petit avec son serpentin qui n'est autre qu'une effet de lumière involontaire.

mardi 20 novembre 2007

23 h 40...


Je traîne encore un peu avant d'aller me coucher. La tisane "nuit étoilée" m'attend sur la table. Les volets de la maison claquent à cause du vent incessant et bruyant (sans doute à plus de 100 km/h). Le vent siffle, c'est la tempête ! Je pense à la mer qui doit être déchaînée et je m'imagine sur la plage... mais c'est même pas la peine, pas à cette heure-çi ! Et pourtant, c'est tentant... je dois être raisonnable.

lundi 19 novembre 2007

Pour et à Henri


Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,
Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Lentement, les ailes déployées,
Lentement, je le vis tournoyer,
Près de moi, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
L'oiseau vint se poser,
Il avait les yeux couleur rubis,
Et des plumes couleur de la nuit,
A son front brillant de mille feux,
L'oiseau roi couronné,
Portait un diamant bleu,
De son bec il a touché ma joue,
Dans ma main il a glissé son cou,
C'est alors que je l'ai reconnu,

Surgissant du passé,
Il m'était revenu,
Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,
Retournons au pays d'autrefois,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Pour cueillir en tremblant,
Des étoiles, des étoiles,
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Etre faiseur de pluie,
Et faire des merveilles,
L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,
Prit son vol pour regagner le ciel,
Quatre plumes couleur de la nuit
Une larme ou peut-être un rubis
J'avais froid, il ne me restait rien
L'oiseau m'avait laissée
Seule avec mon chagrin
Un beau jour, ou peut-être une nuit,
Près d'un lac, je m'étais endormie,
Quand soudain, semblant crever le ciel,

Et venant de nulle part,
Surgit un aigle noir,
Un beau jour, une nuit,
Près d'un lac, endormie,
Quand soudain,
Il venait de nulle part,
Il surgit, l'aigle noir...

Il fait si froid dehors... Encore un peu de chaleur...

dimanche 18 novembre 2007

Marseille... les Calanques


C'était fin juin... Je ne me rappelle plus quel jour c'était. Une randonnée, le soleil, le vent... Tu étais avec moi, nous avons marché côte à côte, le plus souvent sans parler... c'était bien. J'étais bien. Saoule de grand air et très fatiguée en soirée... je n'avais pas envie de sortir.
Plus tard, nous nous sommes revus deux jours.
Puis... Le silence. Ce n'est pas grave... je ne t'en ai pas voulu. Tu étais comme ce vent dans mes cheveux, les caressant puis t'en allant toucher d'autres visages, d'autres paysages. Il y a quelques jours, tu as brisé ce silence par quelques mots. Merci pour ces 4 mots. J'ai ressenti du respect et j'ai été heureuse d'avoir eu une petite place dans ton coeur.

En Camargue...


Petit paradis... La route étroite longe tout d'abord des vignes rougeoyantes, ensuite un petit bois apparaît où quelquefois des paons s'attardent. Le paysage se transforme et elle trace son chemin au bord de l'eau où quelques flamants roses ignorant l'eau froide, se délectent de crevettes.
Quelques mas apparaissent à moitié cachés dans les pinèdes, aux somptueuses allées.
On est enfin arrivé, au bout du chemin une jolie palmeraie digne de Marrakech, des bambous frissonants au vent. Un bol d'air garanti, beaucoup d'espace et vite, il faut profiter des derniers rayons du soleil.

vendredi 16 novembre 2007

Chagrin d'...

Tu vas avoir 15 ans ma petite Manon.

Je dis petite mais tu es une vraie jeune fille.

Je sais que ce soir, c’est pas facile…

Mauvaise nouvelle… Et quand c’est le cœur qui est touché…

J’ai l’impression qu’aucun mot ne peut être à la hauteur de cette douleur.

Laisse couler la pluie dans tes jolis yeux bleus

Pour que demain le soleil puisse les inonder.

Souvenirs

mercredi 14 novembre 2007

Destination ailleurs…

Il ne faudrait pas me le dire deux fois… Envie de partir, de laisser mes pensées ici, de m’ouvrir à d’autres horizons… Cette chanson me fait rêver en ce moment… Où es-tu, toi qui m’emmèneras loin de là ? Parce qu'en plus, je suis difficile...
Je veux partir à deux et ... il faut que le coeur soit du voyage... Histoire que ça reste inoubliable.
Je suis un peu trop exigeante par ces temps qui courent... mais après 2 ans de "pas terrible" je me donne le droit de rêver... à une destination ailleurs.

Je suis...


très fière de ma création... Un pied de lampe transbahuté en bagage à main dans l'avion au retour du Maroc... et voilà mon abat-jour que je viens de créer... et dans les tons orientaux, s'il vous plait !

J'aimerai bien...

être à ta place ma petite minette, lovée dans les coussins.
Dehors, la nuit est là, il fait froid... Ta sieste s'éternise.
A quoi penses-tu ? A rien. Juste... dormir...

Le cirque de Navacelles


De ce grand amphithéâtre, on peut admirer la découpe du canyon... et ainsi plonger le regard vers ce village... Impressionnant !

mardi 13 novembre 2007

C'est vrai...

On ne peut passer son temps à n'avoir que de bons sentiments...

Ce soir, c'est moi qui fais la fille... Un petit clin d'oeil à Jean-Marie et Dominique

lundi 12 novembre 2007

Aujourd’hui,


Je n’avais pas envie de sourire. C’est un jour de blues.

Je voudrai bien oublier tous ces tracas mais ils sont là dans un petit coin de ma tête et ils me talonnent.

Attendre, attendre et bientôt, je serai fixée… Le jour « J » arrivera forcément ?

Besoin de l'écrire, besoin de le dire... aujourd'hui aucune réponse et malgré tout pour la photo, esquisse d'un sourire.


samedi 10 novembre 2007

Ce jour, mon jardin...


Le lantana crie ses couleurs, le palmier s'étale à côté d'un banc qui invite à la farniente.
Malgré le soleil déclinant, il est encore agréable de profiter de ce petit coin de paradis
dans le sud.

Il était une fois...: Marrakech...Jardins de Majorelle

http://www.mackoo.com/marrakech/majorelle.htm

Marrakech...Jardins de Majorelle


« Sous la pluie… lorsque je suis partie en vacances fin janvier et début février 2006, le soleil a daigné apparaître. J’aime beaucoup les fontaines laiteuses et le vert fluo de la végétation ».

Ci-dessous l’historique de ces jardins que l’on peut retrouver sur le site :

http://www.mackoo.com/marrakech/majorelle.htm

Le peintre Jacques Majorelle a créé cet endroit paisible dans les années 1920. Autour de son atelier, il fera planter des bougainvilliers, bananiers, palmiers, bambous géants, yuccas, philodendrons, géraniums ...

En 1962, le jardin tomba à l'abandon à la suite du décès du peintre, et la végétation fut entièrement replantée par les nouveaux propriétaires des lieux : Yves Saint-Laurent et Pierre Bergé.

Le jardin de Majorelle devint incontournable : sir Winston Churchill, grand amateur de Marrakech, vint régulièrement à Majorelle.

Aménagé dans l'atelier du peintre, le musée abrite une collection d'art islamique. De stupéfiants cactus tranchent sur la façade bleue de la villa.

Cette chanson invite à vivre l'essentiel...

L'essentiel... ce que l'on oublie trop souvent

mercredi 7 novembre 2007

L'honnêteté


Quelques petites citations... sur l'honnêteté

"Après les mots, les actes sont souvent manquants ? ou manqués ?"

"L'honnêteté implique
qu'il n'y ait aucune
divergence ou contradiction
entre les pensées,
les paroles et les actions.
Etre honnête envers soi-même
- envers la réalité de son être -
et envers son propre but
inspire confiance aux autres
et leur donne foi en nous.
L'honnêteté consiste
à ne jamais employer
à mauvais escient ce qui nous a été confié."

"Quelle tristesse de constater que l'honnêteté surprend presque tout le monde, et la malhonnêteté, presque personne..."

"L’honnêteté

C’est peut-être la qualité première d’un dominant.

Quelqu’un de complètement dépendant d’une autre personne, qui n’existe que pour la satisfaire doit savoir si son dominant est crédible et conséquent - et surtout s’il est capable de tenir sa parole. Un dominant n’est pas digne de confiance seulement parce qu’il le dit.

Il est loyal quand il vous le prouve, par des actes conséquents durant une longue période : s’il fait ce qu’il promet de faire et au moment où il l’a dit; s’il vous dit la vérité et ne vous trompe pas; si vous pouvez venir à lui avec vos problèmes, peu importe lesquels, et compter sur son oreille sympathique et affectueuse, et s’il ne vous repousse pas juste parce que ces problèmes le rendent incertain, confus ou bouleversé."

Le 14 juillet 2005,


des illuminations extraordinaires naturelles…

Au départ, le souffle est court, les muscles font mal puis tout se réchauffe. L’effort devient plaisir, la respiration se calme, le rythme est là et la fabuleuse machine qu’est notre corps s’active. Tout devient facile et quel bonheur d’arriver au sommet.

Quelle satisfaction après l’effort, de pouvoir admirer ces paysages grandioses, de se poser enfin pour savourer un repos bien mérité.

La tente accrochée à ce rocher surplombant le lac, un ciel constellé d’étoiles et le silence.

Qu’attendre de plus… Une belle randonnée, une nuit magique et le lendemain, le soleil illumine le massif du Mont-Blanc. Que de beauté et que de bonheur au Lac Blanc !

dimanche 4 novembre 2007

Ah ! L'amour quand tu nous tiens...


Il avait une manière de la regarder… Avec intensité.

Elle a toujours été troublée et son cœur battait à chaque rencontre.

Quelque chose d’inexplicable s’était produit…

S’agissait-il d’un envoûtement ? se demandait-elle fréquemment. Elle n’avait jamais ressenti un tel bouleversement dans tout son être. Une sorte de petite douleur se baladait de son cœur à son ventre mais ô combien agréable.

Plus qu’une attirance, ce regard plongeant dans le sien, ses mains l’effleurant, et après chaque rendez-vous, elle se disait que la vie pouvait enfin s’en aller.

Elle était heureuse et n’avait jamais rencontré l’amour aussi fort.

C’est merveilleux d’avoir 15 ans à 40 ans !

En allant boire un café cassé


Du haut de la terrasse de ce café, la place Jemaa el Fna s’anime. Je l’ai trouvé sans grand intérêt architectural mais le charme opère grâce à cette animation populaire traditionnelle. Des conteurs, des dresseurs de serpents, de singes, des danseuses orientales, des musiciens. Le soir, il est agréable de boire un thé à la menthe et de manger des brochettes au foie. Ce fut un lieu magique et j’ai adoré.

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