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lundi 29 septembre 2008

Toutes voiles dehors !


A perte de vue, sol aride pommelé de quelques arbustes...
Envie d'aller randonner dans ces immensités...

Le Viaduc de Millau se dresse sur ses pilliers gigantesques...
la tête tourne ! Belle prouesse technologique !

et déploie ses voiles blanches sous le soleil couchant !
Plus impressionnant de le voir en bas que d'être sur le pont !

On distingue le Viaduc au fond dans la vallée
et une partie de la ville de Millau

Fabrice et Maguelone, en plein effort...
J'étais dans la même position quelques minutes auparavant !

Joël à l'attéro avec ses clients

Dark Vador !!! ;-) ... en Delta

Aterro en parapente bi-place

Décollage ... la vue est superbe...
on découvre Millau et les montagnes
qui s'étendent vers les Cévennes, les Causses !
Regards et sensations pour un vol plaisir !

dimanche 21 septembre 2008

Retour en 1850

Journée du Patrimoine... nous décidons de nous rendre au Musée Fabre à Montpellier pour voir l'exposition Gustave Courbet ! C'est magnifique...

Les visages sont très expressifs, fins, précis, baignés par la lumière
alors que le fond de la toile est très sombre.
Les nus sont assez lumineux et très réalistes...
L'origine du Monde, particulièrement beau !
La nature, les natures mortes, la chasse,
des paysages enneigés et le bord de mer
sont représentés dans ses œuvres.
Son voyage à Montpellier, après sa rencontre avec Bruyas,
est également significatif dans son travail,
la lumière du ciel et de la mer explose sur la plage de Palavas,
l'Eglise de Maguelone et les Cabanes, près de Pérols.

On pourrait presque croire à une photo tant l'expression est saisissante...
ici, Courbet le Désespéré

Transportés dans un monde artistique,
il était agréable de boire un verre
et de flâner sur l'Esplanade, non loin de la place de la Comédie.
Il était facile d'imaginer Gustave Courbet
qui peignait souvent en public,
entouré d'une nombreuse compagnie de flâneurs.
Il fumait sa pipe et buvait de la bière.

Nous sommes rentrés au Grau du Roi, avec en tête, un Courbet ne désirant appartenir à aucune école, à aucune religion, laissant le mot liberté celui de la fin.

L'éternel coucher de soleil qui a dû le ravir aussi et qui clôture cette journée très agréable !


mercredi 17 septembre 2008

Il y a tant à dire...

Ici Angelo Bronzino a représenté la jalousie grimaçante et torturée, parmi les triomphes de Vénus

Sûrement trop et pas assez... je m'en serai bien passée !

Une amitié qui dure depuis une dizaine d'années est censée être solide car elle est basée sur des moments heureux, complices, d'entre-aides et quelquefois difficiles mais en sachant que l'on peut toujours compter sur l'autre.

C'est ce que je croyais... naïvement sans doute !

Cette foutue jalousie ne s'accroche pas qu'aux amoureux et prend en otage, les amies de longues dates...

Cette émotion empreinte d'agressivité à mon encontre m'a beaucoup attristée... je me sens trahie, je n'ai pas failli à cette amitié et je découvre de jours en jours l'ampleur sournoise de son flot de haine qu'elle déverse peut-être pour se soulager à son tour car elle ne doit pas être dépourvue de souffrance.

Il est difficile de supporter un silence parce que l'incompréhension tenaille, vient la colère qui révolte d'un tel évènement face à la bêtise et enfin, une grande peine parce que l'on aimerait bien que rien n'est changé en la personne et que tout continue comme avant !

lundi 15 septembre 2008

eN pArTaNcE

Destination... Quai n°12 "Les nouveaux photographes"

La gare désaffectée s'anime doucement, à pas feutrée, sous quelques chuchotements... Hier, dimanche... dernier jour d'exposition "Les 36ème rencontres d'Arles Festival international de la photographie".










dimanche 7 septembre 2008

L'abrivado



16 départs de taureaux provenant de différentes manades de la région, entourés par les chevaux lancés au galop... mais pas d'échappées malgré les insistances des jeunes qui titillent le taureau à son passage. Beaucoup de sécurité et moins de prises de risque dues aux nombreux accidents quelquefois mortels survenus les années antérieures.
Aujourd'hui, pas de montées d'adrénaline, cela est resté assez soft !

Cocorico dancer !

La fête votive du Grau du Roi bat son plein ! Comme chaque année, pendant 8 jours le village vit au rythme des courses de taureaux, courses camarguaises, abrivado, encierro mais aussi et qui rime très bien : apéro !
N'étant pas très adepte de cette culture autour du taureau, absente volontaire de cette fête depuis 2 ans, j'ai, avec plaisir accompagnée mes enfants !
Les jeunes font des bandes et défilent le premier jour de la fête.


Voici Dorian et son coq en pleine danse au milieu d'une foule
et de la musique dont les décibels
obligeaient à hurler pour s'entendre !
Il y a des coqs qui ont la santé !!!

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