J'ai pris un chemin parce que je le croyais juste... celui de ma conscience sûrement.
Au bout, des hommes qui se dressent comme des montagnes.
Contre la roche, les éléments se déchaînent, 2h30... c'est long.
Ciel tourmenté, acalmie puis orage, tempêtes...
Alors je grimpe, je me bats puis il faut se taire et se protéger.
Il faut passer de l'autre côté, la route continue-t'elle ?
Je ne vois rien. Je ne sais rien... jusqu'au 8 janvier 2008.
La route... elle continue forcément et j'espère que le soleil brillera.
Merci à mes parents, ma nounette
Merci au soutien de Fabrice, Jérôme, Dominique, Eric, Cathy, Alex, Jacques, Philo, Jocelyne, Sandrine
Merci aux encouragements de Maurice(s)
c'est bon, notre désert dure depuis suffisament longtemps pour que là nous arrivions aux verts paturages.
RépondreSupprimerje passe via le blog de Fabrice en Belgique
beau texte
RépondreSupprimerJacques
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RépondreSupprimerA Khey, espère arriver aux verts pâturages, mais il n'y a pas de raison...
RépondreSupprimerA Jacques, merci...
bonjour Nathalie .....
RépondreSupprimerje suis de tout coeur avec toi et rendez vous le 8 janvier ..... pour de bonnes nouvelles .. il n'y a pas de raison ..