Cela me démangeait de prendre la voiture et de m'éloigner de ce lieu où je réside toute la semaine, où je travaille et où je dors.
En 1 heure, les portes des Cévennes offrent un paysage différent... sauvage, austère quelquefois.
Une bâtisse imposante, très étroite et haute, en pierres semble perdue au milieu d'un champ ou bien campe non loin du Gardon, la rivière où j'aime me baigner l'été avec son eau fraiche et ses rives de galets chauds.
Par là, un petit village, Paussan aux ruelles étroites, aux maisons serrées l'une contre l'autre ; certaines semblent à l'abandon et puis on imagine certains intérieurs où la façade montre une belle rénovation...
Par ici, les cheminées fument... la bonne odeur ! Les chevaux tranquillement broutent le peu d'herbe tant le champ est piétiné et boueux.
Il fait froid et sec et lorsque l'on respire, il y a de la fumée qui sort de la bouche... marcher encore et encore, remplir ses poumons pour mieux faire corps avec ce qui m'entoure.
Belles ambiances, calmes et tranquilles, loin de la fureur des villes, du "monde", et des médias...
RépondreSupprimerBonne route (attention au verglas...;-))
Fred/ Vangauguin, http://neyrat-nath.blogspot.com/
Belle ballade à te lire, on s'imagine la continuer dans l'instant...on attend la prochaine !
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