Un jour, je me suis levée sans avoir le coeur lourd, sans penser que ma journée serait comme un fardeau à porter...Ma tête est vide, vide de pensées..
Les souvenirs douloureux ou les moments heureux qui reviennent marteler de ses poings la conscience dès le matin, se sont envolés ou patinés à la force du temps comme cette porte !
Dehors, peu importe le temps... puisque mon coeur est léger !
Serais-je devenue spectatrice de ma propre souffrance qui ne m'atteint pas !
Sans doute, y a t'il eu trop de tempêtes...
C'est sûr, pour la première fois depuis... euh... une éternité, je vais de l'avant... sans arrières-pensées !
I'm Happy !
Je me suis mis d'accord avec moi-même, ce qui est la plus grande victoire que nous puissions remporter sur l'impossible.
RépondreSupprimerEugène Fromentin
Le format en "grand" donne une toute autre ampleur au blog et à ses clichés ! Wahouuuuuuuuuuuuu !!! et cela donne encore plus envie de se pencher sur tes textes... félicitation pour cette belle renaissance ;-)
RépondreSupprimerUn magnifique texte qui accompagne superbement bien cette très belle photo!
RépondreSupprimerLorsqu'une porte s'ouvre...
RépondreSupprimer...
... attention aux courants d'air!...!...!
Excuse moi, Nath, en s'appellant vent coquin (ou presque), c'était difficile de ne pas la faire ;-)
Bise (et attention à pas t'enrhumer avec tous ces courants d'air déguisés en coups de vent... // elle est pas de moi, mais l'auteur m'échappe)
A plus! (A tchoum?)