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lundi 10 décembre 2007















Petit village cévenol…

Ce n’est pas nécessaire de le nommer.

L’important, ils étaient tous les deux,

Assis à la terrasse de ce café,

Elle se souvient des platanes et du peu de passages.

C’était en Automne, elle en est sûre.

La nuit s’était installée, ils avaient roulé

Pour se retrouver, cachés, loin d’un regard connu.

Lui, comme il était beau !

Beau, c’est vague et c’est tout

Beau dehors, beau dedans…

Elle, elle était captivée par cet homme,

Tout simplement, les autres n’existaient pas

Sa voix, cette voix qui lui a dit doucement

Que ses yeux brillaient

Et cette expression dans son regard

A cet instant…

Elle aurait tout donné pour que le temps s’arrête.

6 commentaires:

  1. Chaque mot respire le vécu, la douceur et la chaleur d'un instant d'éternité. Belle histoire...

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  2. Nostalgies... amours perdues !!!
    Peut être qu'elles sont belles de n'avoir pas duré?

    Beau texte...

    Jacques

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  3. Merci Jacques... Elles auraient pu être belles aussi d'avoir perduré... je l'imagine.
    Comment savoir ?

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  4. on ne sait pas...
    Est-ce un bien, est-ce un mal ? Je ne sais pas
    9a pourrait être l'origine d'un texte, cette question.
    Tu t'y colles ?

    J.

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  5. A jacques

    Est-ce un bien, est-ce un mal ?
    Le texte : jeudi 13 décembre...
    Bises

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