
Petit village cévenol…
Ce n’est pas nécessaire de le nommer.
L’important, ils étaient tous les deux,
Assis à la terrasse de ce café,
Elle se souvient des platanes et du peu de passages.
C’était en Automne, elle en est sûre.
La nuit s’était installée, ils avaient roulé
Pour se retrouver, cachés, loin d’un regard connu.Lui, comme il était beau !
Beau, c’est vague et c’est tout
Beau dehors, beau dedans…
Elle, elle était captivée par cet homme,
Tout simplement, les autres n’existaient pas
Sa voix, cette voix qui lui a dit doucement
Que ses yeux brillaient
Et cette expression dans son regard
A cet instant…
Elle aurait tout donné pour que le temps s’arrête.
Chaque mot respire le vécu, la douceur et la chaleur d'un instant d'éternité. Belle histoire...
RépondreSupprimerOui... merci Seb !
RépondreSupprimerNostalgies... amours perdues !!!
RépondreSupprimerPeut être qu'elles sont belles de n'avoir pas duré?
Beau texte...
Jacques
Merci Jacques... Elles auraient pu être belles aussi d'avoir perduré... je l'imagine.
RépondreSupprimerComment savoir ?
on ne sait pas...
RépondreSupprimerEst-ce un bien, est-ce un mal ? Je ne sais pas
9a pourrait être l'origine d'un texte, cette question.
Tu t'y colles ?
J.
A jacques
RépondreSupprimerEst-ce un bien, est-ce un mal ?
Le texte : jeudi 13 décembre...
Bises