Libellés

samedi 17 décembre 2011

Esprit de Noël





Noël n'est pas un jour ni une saison, c'est un état d'esprit. 

Beaux textes pour Noël de Calvin Coolidge

lundi 12 décembre 2011

Blanc et argent


Nous avons fait, Manon et moi, le sapin hier ! 
Pas trop en avance cette année mais le principal c'est que les lumières brillent de mille feux,
que la maison soit en fête et que nous soyons émerveillés à chaque fois que nous posons le regard 
sur tout ce qui scintille ! Tant que nous garderons nos âmes d'enfant, la vie sera plus légère !


Comme des petits glaçons et des flocons accrochés aux branches des sapins...
Ambiance glace et neige, ambiance montagne... parce qu'elle me manque, surtout à cette période de l'année !

jeudi 8 décembre 2011

Moineaux espiègles

Cela virevolte, fregonne, fourrage, remue dans les bosquets ! 
Ces petits moineaux font un raffut et n'ont pas donné leur part de coquinerie !
Il suffit que je m'affaire dehors sans trop faire attention à eux, 
ils sont tous proches de moi, me regardent 
en penchant leurs petites têtes à droite, à gauche
et dès que j'arrive avec mon appareil photo, 
à la même distance, ils se sauvent ! 
Mais je suis tenace... hey hey ! 
Clic Clac ! Pris par surprise avec rapidité ! 








Et une petite touche d'humour avec une citation de Coluche :


« La différence qu’il y a entre les oiseaux et les hommes politiques,

 c’est que de temps en temps les oiseaux s’arrêtent de voler ! »


Qu'en pensez-vous, vous êtes d'accord avec Coluche, n'est-ce pas ? ;-)

mardi 6 décembre 2011

Aller au bout de sa passion


Je ne suis pas fan de corridas. La souffrance des animaux m'est insupportable 
et même si la corrida est une affaire de culture et de tradition, 
je la trouve très cruelle.

Artistiquement parlant cette statue est magnifique.
La passion pour un métier, quelle qu'elle soit, doit porter à l'admiration et au respect, 
car celui ou celle qui la vit, va au bout de ses rêves !



Détermination, Concentration, beauté




Élégance, raffinement, travail, passion




Gestuelle, posture, drapé, adresse




Détails, finesse, fierté





Frère d’Alain Montcouquiol « Nimeño I », « Nimeño II » reste encore aujourd’hui la principale figura de la tauromachie française. 

Après sa première novillada à Nîmes le 17 mai 1975, il obtient l’aide de Manolo Chopera, l’un des plus importants organisateurs de corrida espagnols. 
Celui-ci lui ouvre les portes de nombreuses arènes espagnoles. Jusqu’en 1982, il participe à un grand nombre de corridas en Espagne, en France et en Amérique Latine.
En 1982, il se sépare de Manolo Chopera, et continue sous la direction de son frère. 
Le 14 mai 1989, à Nîmes, il participe à un mano a mano en compagnie du portugais Victor Mendes, devant des taureaux de Guardiola. 
Mendes ayant été blessé par son premier taureau, « Nimeño » doit affronter seul les six taureaux : il remporte ce jour là un triomphe mémorable après une corrida d’anthologie.
Le 10 septembre 1989, à Arles, il doit affronter des taureaux de Miura. 

Son second taureau, « Pañolero », le bouscule violemment et le propulse en l’air.

« Nimeño » chute tête première, se lésant très fortement les cervicales : les chirurgiens marseillais qui l’opèrent reconnaissent que, jamais, ils n’avaient eu à s’occuper de quelqu’un blessé aussi gravement aux cervicales ; dans tous les cas qu’ils avaient pu connaître, le blessé était mort dans les minutes ayant suivi l’accident. 
Il reste entre la vie et la mort durant plusieurs jours. 
Une fois hors de danger, il reste tétraplégique et lutte longtemps pour retrouver l’usage de ses membres. 
Durant de longs mois, l’afición française suit, quasiment jour après jour, son évolution.

Plus d’un an après son accident, il a enfin retrouvé l’usage de ses deux jambes et de son bras droit ; en revanche, le bras gauche reste paralysé et tout indique qu’il en sera définitivement ainsi. 

Le 25 novembre 1991, il se suicide par pendaison dans le garage de sa maison.

lundi 5 décembre 2011

Les prémices de Noël à Nîmes


Nîmes et ses rues piétonnes...
Ses boutiques qui se parent doucement de décorations et d'objets festifs,
La douceur de l'air exceptionnelle pour ce début décembre,
Les terrasses de café sont assiégées, presque comme en été.
Les arènes s'embrasent sous le soleil de fin d'automne...



Le Carré d'Art et son café le B'Rock Art au dernier étage


La Maison Carrée



Place de l'Horloge












Place du Chapître, vue sur la Cathédrale


















Autour des arènes









Empreintes romaines

samedi 3 décembre 2011

Une cathédrale sur son îlot volcanique


Elle s'appelle Maguelone.
Construite il y a 8 siècles comme une véritable forteresse. 

Ce n'est pas la première fois que je visite cette cathédrale et à chaque fois un sentiment d'apaisement.
Son style dépouillée et son grand volume en font un lieu d'une grande beauté !




Ses murs dépassent couramment les 2 mètres d'épaisseur.



Une chapelle se trouve à ses côtés, on peut l'approcher par un petit chemin qui traverse un petit bois.



La Tour de l'Evêque


Le portail 





Le tympan (en haut) figure le Christ en majesté assis sur un trône et entouré d'un âne, 
d'un aigle, d'un lion et d'un boeuf.

On remarque de part et d'autre de la porte deux bas-reliefs en marbre blanc 
représentant les saints patrons de la cathédrale : Saint Pierre à droite et Saint Paul à gauche.



L'autel et ses plumes de paon ! A ses abords, dans le Parc, des paons paradent !





Son sol est tapissé de tombes, pour la plupart anonymes. 
Quatre gisants d'évêques en marbre blanc sont remarquables.





L'escalier à droite mène à l'étage.


Vestiges romains, étrusques.






"Pour l'homme, le passé ressemble singulièrement à l'avenir.
Lui raconter ce qui fut, n'est-ce pas presque toujours lui dire ce qui sera ?"

H. de Balzac. La Recherche de l'absolu

vendredi 2 décembre 2011

Voyage en eaux salines





Etangs autour de la Cathédrale de Maguelone




Reflets argent 




Lumière douce en fin d'après-midi



Galets et coquillages sur la Plage de Maguelone



Galets polis et mouillés sur brisures de coquillages



Multitude de couleurs



Escargot de mer




Une invitation à marcher sur les flots ;-)



Un cormoran qui fait sécher ses ailes au vent



Flamants roses  




La mer déchaînée au soleil couchant

Couleurs de début décembre,
Pâles et lumineuses
Douceur et force
Nature en contraste



« Ecrire liberté sur le bord d'une plage, c'est déjà avoir la liberté de l'écrire.

Même si la mer efface ce mot : la liberté demeure. »



 Jean-Michel Wyl

LinkWithin

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...